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Dans le cadre de la Déclaration de politique communautaire 2009-2014, le Gouvernement s’est engagé à entreprendre une refonte de la formation initiale des enseignants, reposant sur les avis et besoins exprimés par les acteurs concernés. A terme, face aux exigences du métier, cette refonte impliquerait, par un allongement de la durée des études à 5 ans, un renforcement progressif de la formation des instituteurs et des régents, intégrant à la fois les besoins nouveaux et une plus grande collaboration avec les enseignants de terrain.
L’évaluation participative de la formation actuelle des enseignants a été mise en oeuvre non seulement auprès des acteurs de la formation des instituteurs et régents, mais également en impliquant chacune des institutions qui forme des enseignants - tous niveaux d’enseignement confondus : universités, hautes écoles, écoles supérieures des arts et de promotion sociale. Finalement, tous les acteurs directement et indirectement impliqués dans la formation initiale des enseignants (FIE) ont eu voix au chapitre.
Cette évaluation a été menée entre mars 2011 et février 2012 par le Centre d’études sociologiques de l’Université Saint-Louis. Qualitative, participative et prospective, elle a abouti à la publication d’un rapport qui fait état du contexte de la formation initiale en Fédération Wallonie-Bruxelles, rend compte des points de vue des acteurs, et met en évidence des problématiques de synthèse et des perspectives pratiques. Depuis lors, ce rapport a été présenté au Gouvernement et au Parlement (au printemps 2012), a été diffusé et discuté dans une série d’assemblées.
Parallèlement à l’évaluation menée, un certain nombre d’instances, de conseils et d’institutions ont, sur demande du Ministre de l’Enseignement supérieur ou spontanément, remis un avis sur les insuffisances de la formation actuelle des enseignants ou sur ce qu’elle pourrait contenir dans l’hypothèse d’un passage à 5 ans. Par ailleurs, parmi les analyses sur lesquelles le Gouvernement peut également s’appuyer, celle publiée en 2010 par l’Agence pour l’Evaluation de la Qualité de l’Enseignement Supérieur - "Evaluation du bachelier Instituteur-trice préscolaire en Communauté française de Belgique. Analyse transversale". - contient plusieurs scénarios pertinents d’allongement de la formation initiale des instituteurs et régents, assortis de leurs avantages et inconvénients.
Enfin, dans un contexte plus large, le processus spécifique d’évaluation de la formation des enseignants a pris place dans la foulée des travaux de la "Table ronde de l’Enseignement supérieur" (décembre 2009 - mai 2010), visant à susciter un large débat participatif sur l’avenir de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et sur son évolution dans le paysage européen, dix ans après la mise en oeuvre du Processus de Bologne. Les mesures concrètes qui seront prises par le Gouvernement dans le cadre spécifique de la formation des enseignants devront s’articuler avec celles qui visent à améliorer et renforcer la cohérence de l’ensemble du paysage de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Plus globalement encore, elles seront prises en tenant compte du contexte et de la dynamique du Plan « Horizon 2022 ».
La note formule des propositions concrètes et une orientation des travaux :
Globalement, la refonte de la formation :